Dans le magazine Rolling Stones, le viol d'une étudiante américaine a été raconté. Jackie, la victime avait 18 ans quand elle s'est faite violer. C’était un mois après sa rentrée à l'université de Virginie et elle était à une soirée d'une fraternité quand sept étudiants (membres de la fraternité Phi Kappa Psi) l’ont violée. Cette soirée a complètement changé sa vie parce qu'elle ne voulait pas être la fille qui a crié "au viol."
Jackie n'est pas la seule fille qui a eu une mauvaise expérience. Une fille sur 5 est victime d'agression sexuelle sur les campus et les membres d'une fraternité sont 4 fois plus amenés à violer les femmes. Maintenant le viol est valorisé dans certaines universités donc les victimes ne veulent pas dire ce qui s'est passé. Jackie a passé un an sans rien dire parce que le dire est considéré comme un "suicide social." Finalement elle a décidé de parler à la doyenne de son université mais quand les victimes décident de parler à l'université, elles doivent decider de se rendre à la police ou régler l'affaire au sein de l'université. Cependant sur les 38 victimes à l'UVA seulement 9 ont déposé une plainte.
L'UVA n'est pas la seule université à tenter de camoufler ces affaires de viols et c'est le problème. Les universités sont trop intéressés par leurs réputations donc les droits des femmes ne sont pas toujours la priorité. Les administrateurs doivent trouver une façon de changer le stereotype envers les victimes afin que les femmes dénoncent leur viol. Je crois qu'il est essentiel que les femmes vont avoir le droit de faire les accusations pour trouver la justice. Mais maintenant la sécurité des femmes n’ai pas assez importante pour les universités donc comment est-ce qu'on peut changer comment les université aux Etats-Unis traitent les victimes et comments ils adressent les cas de viol?
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| Source: Maria Jose Alcala. |
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